Par Hala Kodmani, co-fondatrice de www.glifpix.fr
Crédit : Jean-Michel Grimmer / Xavier Renauld
La plateforme en ligne depuis le 1er novembre 2010 présente des projets éditoriaux proposés par des journalistes pour être financés par des souscriptions d’utilisateurs et/ou de médias, sur le modèle de Spot.us.
– Rappel du développement du modèle californien de Spot.us et de ses petits frères canadien, australien, italien… et français
– Genèse du projet Glifpix : une longue maturation puis un lancement en mode test
– Les initiateurs : une petite équipe de geeks et de journalistes engagés dans un projet incubé par fabernovel (agence d’innovation)
– Objectifs à 6 mois : intérêt des médias et professionnels, nombre de VU, inscriptions et communauté, minimum de projets financés.
Tentations et tentatives éditoriales
– Une autre forme de journalisme : relation directe entre le journaliste et ses lecteurs-souscripteurs –producteurs. – L’option de l’ouverture de l’offre à tous sujets : internationaux, français, locaux, économie, société, culture, etc… pour tester l’intérêt. – Enquêtes et reportages au long souffle et de qualité : exemples des premiers projets originaux : journalistes correspondants en France et à l’étranger, interprétation personnalisée. Expérimentation du Webmarketing pour le financement de contenus éditoriaux
– Newsletter: diffusion aux professionnels médias
– Approche B to B : proposer les sujets par spécialité aux souscripteurs médias susceptibles d’être intéressés.
– Souscripteurs particuliers : développement de communautés d’utilisateurs inscrits + Facebook et Twitter.
Premiers pas et premières indications
– Journalistes : aventuriers mais encore timides.
– Utilisateurs : séduits mais pas encore souscripteurs.
– Professionnels : Webmarketing : premiers résultats pour 1.000 envois de Newsletter aux professionnels : 18% d’ouverture / 1,5% de clics, surtout sur « vivre en mode slow » et « la dette publique ».
Conclusion
Le « déclencheur » à travailler pour confirmer, réorienter et tirer les leçons.